"Je ne dois pas accepter de me faire couper la gorge"

Jean Luc Mélenchon à l'Assemblée nationale le 16 octobre 2018. © Jacques Witt / SIPA
"Je ne dois pas accepter de me faire couper la gorge dans le vacarme confus de l'information spectacle qui va prévaloir. Je prends donc la plume", commence Jean-Luc Mélenchon. Ce dernier a été l'un des protagonistes des échanges tendus du 16 octobre dernier, entre les policiers et un procureur d'un côté, et des figures LFI de l'autre, au cours d'une perquisition au siège de son parti, après celle effectuée à son propre domicile. "Je vais prendre ma part du témoignage de notre époque puisque j'ai l'honneur d'être parmi les trois premiers députés Insoumis inculpés politiques depuis la guerre d'Algérie", explique le tribun, poursuivi en justice sur la page de présentation de son livre.
"Je ne dois pas accepter de me faire couper la gorge dans le vacarme confus de l'information spectacle qui va prévaloir. Je prends donc la plume", commence Jean-Luc Mélenchon. Ce dernier a été l'un des protagonistes des échanges tendus du 16 octobre dernier, entre les policiers et un procureur d'un côté, et des figures LFI de l'autre, au cours d'une perquisition au siège de son parti, après celle effectuée à son propre domicile. "Je vais prendre ma part du témoignage de notre époque puisque j'ai l'honneur d'être parmi les trois premiers députés Insoumis inculpés politiques depuis la guerre d'Algérie", explique le tribun, poursuivi en justice sur la page de présentation de son livre.
© Jacques Witt / SIPA