La perquisition : une "farce" d'"amateurs"

Jean-Luc Mélenchon le 5 septembre 2019, lors de sa visite brésilienne à l'ex-président Lula. © HEDESON ALVESEFE / SIPA
Sur la perquisition du 16 octobre 2018, Jean-Luc Mélenchon parle dans son ouvrage de "n'importe quoi", une "farce", pratiquée par "des amateurs". Mais le leader de la France insoumise souligne aussi son "traumatisme" face à la "violence subie" ce jour-là. De quoi lui ôter sa confiance en la justice, tacle le président du groupe LFI à l'Assemblée nationale. "Nous étions de cette armée de nigauds qui répondaient 'oui, j'ai confiance en la justice de mon pays' ", souligne-t-il, affirmant  que son cas "est le plus grave" car sa culture politique ne fait de lui "ni un anti-flic, ni un anti-magistrat. Au contraire".
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