50% de produits bio, écologiques ou issus de circuits courts dans la restauration collective

50% de produits bio, écologiques ou issus de circuits courts dans la restauration collective
Une cantine scolaire de Valbonne, le 25 mars 2021. © SYSPEO/SIPA
  • Ce qu'a dit Macron : "Nous ferons confiance aux territoires pour s'organiser et trouver des solutions adaptées. Nous encouragerons les projets alimentaires territoriaux (PAT) pour rapprocher les producteurs, les transformateurs, les distributeurs, les collectivités territoriales et atteindre 50% de produits biologiques, écologiques ou locaux dans l'ensemble de la restauration collective en 2022."
    Sur son site de campagne le 2 mars 2017
  • Pourquoi c'est une promesse non tenue ? La loi Agriculture et alimentation (dite loi EGalim) du 30 octobre 2018 réitère bien cette promesse de "50% de produits de qualité et durables, dont au moins 20% de produits biologiques" dans les cantines scolaires, "au plus tard le 1er janvier 2022". A ce jour, l'objectif n'a pas été atteint.

    Contacté par Luiprésident.fr, le ministère de l'Agriculture et de l'alimentation évalue la présence des produits durables dans les cantines en fin de quinquennat entre 11 et 15 % et celle des produits bio autour de 10 %. Le ministère explique en outre cet échec par la crise du Covid-19 qui a engendré une "perte de chiffre d'affaires (…) et des difficultés persistantes liées au développement du télétravail et aux mesures sanitaires" dans le secteur de la restauration collective.  
  • Ce qu'a dit Macron : "Nous ferons confiance aux territoires pour s'organiser et trouver des solutions adaptées. Nous encouragerons les projets alimentaires territoriaux (PAT) pour rapprocher les producteurs, les transformateurs, les distributeurs, les collectivités territoriales et atteindre 50% de produits biologiques, écologiques ou locaux dans l'ensemble de la restauration collective en 2022." Sur son site de campagne le 2 mars 2017
  • Pourquoi c'est une promesse non tenue ? La loi Agriculture et alimentation (dite loi EGalim) du 30 octobre 2018 réitère bien cette promesse de "50% de produits de qualité et durables, dont au moins 20% de produits biologiques" dans les cantines scolaires, "au plus tard le 1er janvier 2022". A ce jour, l'objectif n'a pas été atteint. Contacté par Luiprésident.fr, le ministère de l'Agriculture et de l'alimentation évalue la présence des produits durables dans les cantines en fin de quinquennat entre 11 et 15 % et celle des produits bio autour de 10 %. Le ministère explique en outre cet échec par la crise du Covid-19 qui a engendré une "perte de chiffre d'affaires (…) et des difficultés persistantes liées au développement du télétravail et aux mesures sanitaires" dans le secteur de la restauration collective.  

© SYSPEO/SIPA
Axelle Choffat