Accusé de comportements déplacés voire d'agressions sexuelles

6 janvier 2015 à Washington. Le Vice-président Joe Biden se penche pour dire quelque chose à Maggie Coons, près de son père le sénateur Chris Coons au Capitole. © Jacquelyn Martin / AP / SIPA

"Accolade prolongée", "baiser sur la tête" sans consentement... Dans la biographie "Joe Biden" sont évoqués les reproches de "comportements déplacés" dont le démocrate a fait l'objet de la part de "plusieurs femmes".
Plus grave encore, une ex-assistante, Tara Reade, 56 ans, l'accuse de l'avoir agressée sexuellement en 1993, quand il était sénateur et qu'elle travaillait pour son équipe à Washington. Sans véritable "échanges de mots", relate pour la première fois publiquement la victime présumée dans un podcast diffusé le 25 mars 2020, Joe Biden "m'a mise contre le mur", embrassée et "il m'a pénétrée avec ses doigts"
Le 1er mai 2020, l'adversaire de Donald Trump dans la course à la présidence américaine, qui se présente comme un "avocat" inlassable de la cause des femmes, a martelé, dans un entretien sur la chaîne MSNBC et face à cette accusation qui empoisonnait sa campagne : "Cela n'est jamais arrivé, point à la ligne".

"Accolade prolongée", "baiser sur la tête" sans consentement... Dans la biographie "Joe Biden" sont évoqués les reproches de "comportements déplacés" dont le démocrate a fait l'objet de la part de "plusieurs femmes". Plus grave encore, une ex-assistante, Tara Reade, 56 ans, l'accuse de l'avoir agressée sexuellement en 1993, quand il était sénateur et qu'elle travaillait pour son équipe à Washington. Sans véritable "échanges de mots", relate pour la première fois publiquement la victime présumée dans un podcast diffusé le 25 mars 2020, Joe Biden "m'a mise contre le mur", embrassée et "il m'a pénétrée avec ses doigts".  Le 1er mai 2020, l'adversaire de Donald Trump dans la course à la présidence américaine, qui se présente comme un "avocat" inlassable de la cause des femmes, a martelé, dans un entretien sur la chaîne MSNBC et face à cette accusation qui empoisonnait sa campagne : "Cela n'est jamais arrivé, point à la ligne".
© Jacquelyn Martin / AP / SIPA