Bip biiiiiip

Une sonnette d'urgence à l'hôpital. © 123RF / Mongkol Chakritthakool
A la maternité, chaque salle et chaque chambre se trouvent être équipées d'une sonnette d'urgence. Une notion d'urgence toute relative selon les patientes, s'amuse l'auteure de "Poussez, Madame ! – Confessions d'une sage-femme". A l'image de cette patiente remise de l'accouchement et autorisée à rentrer chez elle le matin-même qui appuie sur le bouton d'alarme à 5 heures du matin pour un : "J'ai froid, vous pouvez remonter la couverture qui est à mes pieds ?" Ou de cette autre qui exige un vase. Quand la sage-femme lui demande avec humour "combien [elle lui donnera pour ça]", lui rétorque sèchement : "Trois minutes !" En variante de cette attitude abusive, Sylvie Coché cite les patientes sans-gêne qui déambulent dans les couloirs "un tee-shirt court pour seul vêtement, le derrière à l'air, [en] slip-filet".
A la maternité, chaque salle et chaque chambre se trouvent être équipées d'une sonnette d'urgence. Une notion d'urgence toute relative selon les patientes, s'amuse l'auteure de "Poussez, Madame ! – Confessions d'une sage-femme". A l'image de cette patiente remise de l'accouchement et autorisée à rentrer chez elle le matin-même qui appuie sur le bouton d'alarme à 5 heures du matin pour un : "J'ai froid, vous pouvez remonter la couverture qui est à mes pieds ?" Ou de cette autre qui exige un vase. Quand la sage-femme lui demande avec humour "combien [elle lui donnera pour ça]", lui rétorque sèchement : "Trois minutes !" En variante de cette attitude abusive, Sylvie Coché cite les patientes sans-gêne qui déambulent dans les couloirs "un tee-shirt court pour seul vêtement, le derrière à l'air, [en] slip-filet".
© 123RF / Mongkol Chakritthakool