Une affaire non-résolue, l'autre si

L'analyse ADN ne permet pas toujours de faire toute la lumière sur les infanticides. © Vit Kovalcik / 123RF
21 octobre 2003 : dans une forêt du Haut-Rhin, à Galfingue, cinq cadavres de nouveau-nés sont retrouvés empaquetés dans des sac-poubelles. Malgré les analyses ADN effectuées, la police manquera d'éléments suffisants pour retrouver les parents. L'affaire est classée sans suite six ans plus tard. Moins de trois ans après, le 27 janvier 2006, une autre affaire d'infanticide occupe les enquêteurs, cette fois dans le Loir-et-Cher. Enterrés dans un jardin de Contres sont découverts trois corps de nourrissons. Leur mère, Marinette Pezin, déjà maman de quatre enfants, aurait subi la tyrannie de son mari n'en désirant plus aucun. Elle a alors noyé et enterré les nourrissons "supplémentaires". Elle sera condamnée à 5 ans de prison avec sursis en février 2011.
21 octobre 2003 : dans une forêt du Haut-Rhin, à Galfingue, cinq cadavres de nouveau-nés sont retrouvés empaquetés dans des sac-poubelles. Malgré les analyses ADN effectuées, la police manquera d'éléments suffisants pour retrouver les parents. L'affaire est classée sans suite six ans plus tard. Moins de trois ans après, le 27 janvier 2006, une autre affaire d'infanticide occupe les enquêteurs, cette fois dans le Loir-et-Cher. Enterrés dans un jardin de Contres sont découverts trois corps de nourrissons. Leur mère, Marinette Pezin, déjà maman de quatre enfants, aurait subi la tyrannie de son mari n'en désirant plus aucun. Elle a alors noyé et enterré les nourrissons "supplémentaires". Elle sera condamnée à 5 ans de prison avec sursis en février 2011.
© Vit Kovalcik / 123RF