Il voyage malgré les menaces

Le dalaï-lama devant la Maison-Blanche en 2010. © Gerald Herbert / AP / SIPA
La Chine n'aime pas trop que le dalaï-lama se rende aux quatre coins du monde et en particulier en Occident. Ce qui n'empêche pas le chef spirituel tibétain en exil de voyager. En 2008, il a par exemple fait une tournée en Europe pour s'entretenir avec plusieurs Premiers ministres. La même année, en pleins JO de Pékin, Nicolas Sarkozy, alors président et qui avait déclaré ne "pas se laisser dicter sa conduite par la Chine", a toutefois préféré éviter de le rencontrer personnellement lors de sa visite en France. La Chine avait menacé de restreindre ses relations commerciales avec la France.

Lors de sa visite en France du 12 au 18 septembre 2016, la première en 5 ans, le chef spirituel tibétain ne rencontrera pas non plus François Hollande ni aucun membre du gouvernement. Il devra se contenter d'une délégation parlementaire et d'élus locaux. Mais passera néanmoins à la télé, invité, mercredi 14 septembre, de "Quotidien", la nouvelle émission de Yann Barthès sur TMC !
La Chine n'aime pas trop que le dalaï-lama se rende aux quatre coins du monde et en particulier en Occident. Ce qui n'empêche pas le chef spirituel tibétain en exil de voyager. En 2008, il a par exemple fait une tournée en Europe pour s'entretenir avec plusieurs Premiers ministres. La même année, en pleins JO de Pékin, Nicolas Sarkozy, alors président et qui avait déclaré ne "pas se laisser dicter sa conduite par la Chine", a toutefois préféré éviter de le rencontrer personnellement lors de sa visite en France. La Chine avait menacé de restreindre ses relations commerciales avec la France. Lors de sa visite en France du 12 au 18 septembre 2016, la première en 5 ans, le chef spirituel tibétain ne rencontrera pas non plus François Hollande ni aucun membre du gouvernement. Il devra se contenter d'une délégation parlementaire et d'élus locaux. Mais passera néanmoins à la télé, invité, mercredi 14 septembre, de "Quotidien", la nouvelle émission de Yann Barthès sur TMC !
© Gerald Herbert / AP / SIPA