Des attouchements puis des viols

Sylvie Marot (G), Fabienne Marot (2e G), leurs avocates et Carole Marot (D) le 28 janvier 2016 à Paris. © AGNS COUDURIER CURVEUR / AFP
"Au début, il y a eu les violences physiques… qui sont devenues sexuelles à partir du moment où nous avons été formées", raconte encore une des filles Marot. Au cours du procès en appel, Sylvie a raconté comment leur père a d'abord pratiqué des attouchements sur ses filles, se glissant dans le lit qu'elle partageait avec Carole pour "se frotter contre nous". "On ne savait pas ensuite jusqu'où il allait car il nous isolait chacune", a-t-elle précisé. Carole Marot subit un viol de son père sur le tapis de la salle de bains, raconte-t-elle. La plus jeune, Fabienne, dit n'avoir pas connu les attouchements progressifs, mais elle aussi sera violée, à 15 ans et demi.
"Au début, il y a eu les violences physiques… qui sont devenues sexuelles à partir du moment où nous avons été formées", raconte encore une des filles Marot. Au cours du procès en appel, Sylvie a raconté comment leur père a d'abord pratiqué des attouchements sur ses filles, se glissant dans le lit qu'elle partageait avec Carole pour "se frotter contre nous". "On ne savait pas ensuite jusqu'où il allait car il nous isolait chacune", a-t-elle précisé. Carole Marot subit un viol de son père sur le tapis de la salle de bains, raconte-t-elle. La plus jeune, Fabienne, dit n'avoir pas connu les attouchements progressifs, mais elle aussi sera violée, à 15 ans et demi.
© AGNS COUDURIER CURVEUR / AFP