Toutes abusées et se croyant la seules

Fabienne Marot en décembre 2015, à la cour d'assises de Blois. © Capture vidéo France 3.
Fabienne, que son père surnommait "La pisse" car elle urinait quand elle avait peur, s'est également rappelée dans l'entretien à Madame Figaro en 2016 de l'étrange sensation provoquée par les abus sexuels de son père : "Il était tellement manipulateur que par moments, je doutais de moi-même, je pensais avoir inventé le geste qu'il [avait] eu envers moi". Chose étonnante, chacune des femmes de la famille subissait des viols tout en se croyant un cas isolé, puisqu'elles ignoraient selon leurs dires que mère et sœurs vivaient les mêmes sévices. "C'était complètement invisible, personne ne savait, même entre nous, nous n'en parlions pas", affirme ainsi Carole Marot à Madame Figaro.
Fabienne, que son père surnommait "La pisse" car elle urinait quand elle avait peur, s'est également rappelée dans l'entretien à Madame Figaro en 2016 de l'étrange sensation provoquée par les abus sexuels de son père : "Il était tellement manipulateur que par moments, je doutais de moi-même, je pensais avoir inventé le geste qu'il [avait] eu envers moi". Chose étonnante, chacune des femmes de la famille subissait des viols tout en se croyant un cas isolé, puisqu'elles ignoraient selon leurs dires que mère et sœurs vivaient les mêmes sévices. "C'était complètement invisible, personne ne savait, même entre nous, nous n'en parlions pas", affirme ainsi Carole Marot à Madame Figaro.
© Capture vidéo France 3.