"Et s'il changeait ?"

Fabienne Marot en décembre 2015 devant la cour d'assises de Blois. © Capture vidéo France 3
Malgré tout, certains des enfants Marot, Fabienne et Pascal, qui ont travaillé dans l'entreprise de leurs parents quasiment jusqu'au jour du meurtre de leur père, ont voulu croire que Norbert Marot pouvait changer. Fabienne Marot explique à Madame Figaro : "On est restés pour protéger notre mère et puis, malgré tout ce qu'il s'est passé, ça restait aussi notre père. On a été trop gentils avec lui. On a pardonné ses frasques, on était ses punching-balls, ses choses. Notre but était de le servir du mieux que l'on pouvait, de le satisfaire pour qu'il s'assagisse, qu'il admette ses erreurs. Nous aurions été capables de pardonner, de passer outre. Nous avions l'espoir qu'il devienne quelqu'un de bien".
Malgré tout, certains des enfants Marot, Fabienne et Pascal, qui ont travaillé dans l'entreprise de leurs parents quasiment jusqu'au jour du meurtre de leur père, ont voulu croire que Norbert Marot pouvait changer. Fabienne Marot explique à Madame Figaro : "On est restés pour protéger notre mère et puis, malgré tout ce qu'il s'est passé, ça restait aussi notre père. On a été trop gentils avec lui. On a pardonné ses frasques, on était ses punching-balls, ses choses. Notre but était de le servir du mieux que l'on pouvait, de le satisfaire pour qu'il s'assagisse, qu'il admette ses erreurs. Nous aurions été capables de pardonner, de passer outre. Nous avions l'espoir qu'il devienne quelqu'un de bien".
© Capture vidéo France 3