De quand date le premier arrêt des traitements de Vincent Lambert ?

23 juillet 2015. Rachel Lambert, la femme de Vincent Lambert, face aux médias devant l'hôpital Sébastopol de Reims. © Thibault Camus/AP/SIPA
Ce n'est pas la première fois qu'un arrêt des traitements prodigués à Vincent Lambert est décidé depuis le début de cette affaire. En 2013 déjà, le médecin responsable du patient à l'époque avait conclu que les traitements constituaient une obstination déraisonnable et avait décidé de les arrêter. Il se basait notamment sur des attitudes oppositionnelles inhabituelles du patient face aux soins, qui pouvaient traduire un refus de vivre. Dix-sept jours après la décision, alors que le processus était encore en cours, les parents de Vincent Lambert apprennent seulement que leur fils a arrêté d'être traité et saisissent en référé le tribunal administratif de Châlons-en-Champagne, qui leur donne raison en exigeant la reprise des traitements, sous prétexte que le médecin n'avait pas prévenu la famille Lambert.
Ce n'est pas la première fois qu'un arrêt des traitements prodigués à Vincent Lambert est décidé depuis le début de cette affaire. En 2013 déjà, le médecin responsable du patient à l'époque avait conclu que les traitements constituaient une obstination déraisonnable et avait décidé de les arrêter. Il se basait notamment sur des attitudes oppositionnelles inhabituelles du patient face aux soins, qui pouvaient traduire un refus de vivre. Dix-sept jours après la décision, alors que le processus était encore en cours, les parents de Vincent Lambert apprennent seulement que leur fils a arrêté d'être traité et saisissent en référé le tribunal administratif de Châlons-en-Champagne, qui leur donne raison en exigeant la reprise des traitements, sous prétexte que le médecin n'avait pas prévenu la famille Lambert.
© Thibault Camus/AP/SIPA