De très nombreuses opérations chirurgicales

Chirurgie pédiatrique, image d'illustration. © Kadmy / stock.adobe.com
Des actes de chirurgie corrective sont pratiqués dès le plus sur jeune âge de nombreux enfants intersexes pour leur assigner un sexe. Des pratiques reconnues comme des mutilations et tortures par l'Onu et le Conseil de l'Europe dans un rapport de 2013 sur les droits de l'enfant à l'intégrité physique. Ces opérations souvent douloureuses et nombreuses, effectuées sans consentement, doivent permettre de les inscrire en tant que fille ou garçon à l'état civil dans un délai de trois ans après la naissance. Potentiellement irréversibles (comme pour l'ablation des testicules ou des ovaires), les conséquences sur le corps vont des traitements à vie aux troubles de l'identité, en passant par la stérilisation ou les séquelles sexuelles. 
Des actes de chirurgie corrective sont pratiqués dès le plus sur jeune âge de nombreux enfants intersexes pour leur assigner un sexe. Des pratiques reconnues comme des mutilations et tortures par l'Onu et le Conseil de l'Europe dans un rapport de 2013 sur les droits de l'enfant à l'intégrité physique. Ces opérations souvent douloureuses et nombreuses, effectuées sans consentement, doivent permettre de les inscrire en tant que fille ou garçon à l'état civil dans un délai de trois ans après la naissance. Potentiellement irréversibles (comme pour l'ablation des testicules ou des ovaires), les conséquences sur le corps vont des traitements à vie aux troubles de l'identité, en passant par la stérilisation ou les séquelles sexuelles. 
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