La question de la "nécessité médicale"...

Marche Existrans des personnes trans et intersexes, le 19 octobre 2019 à Paris. © SEVGI / SIPA
Le Groupe d'information et de soutien sur les questions sexuées et sexuelles (Giss) souhaite faire interdire les chirurgies de conformation sexuelle. Il a interpellé le ministère de la Santé sur ce point, qui lui a répondu en janvier 2019. Les autorités estiment que "les actes chirurgicaux de normalisation sexuelle sans nécessité médicale sont déjà prohibés" et que "certaines opérations sont justifiées lorsque le risque vital est engagé" ou pour "assurer la meilleure fonction possible urinaire et/ou sexuelle ultérieure". Le ministère ajoute que "les actes et traitements médicaux qui sont à ce jour pratiqués sur des enfants, avec le consentement de l'autorité parentale, répondent à une nécessité médicale", laissant entendre dans son courrier à plusieurs reprises, rapporte Slate, qu'on ne pratique déjà plus d'actes sans nécessité médicale en France. 
Le Groupe d'information et de soutien sur les questions sexuées et sexuelles (Giss) souhaite faire interdire les chirurgies de conformation sexuelle. Il a interpellé le ministère de la Santé sur ce point, qui lui a répondu en janvier 2019. Les autorités estiment que "les actes chirurgicaux de normalisation sexuelle sans nécessité médicale sont déjà prohibés" et que "certaines opérations sont justifiées lorsque le risque vital est engagé" ou pour "assurer la meilleure fonction possible urinaire et/ou sexuelle ultérieure". Le ministère ajoute que "les actes et traitements médicaux qui sont à ce jour pratiqués sur des enfants, avec le consentement de l'autorité parentale, répondent à une nécessité médicale", laissant entendre dans son courrier à plusieurs reprises, rapporte Slate, qu'on ne pratique déjà plus d'actes sans nécessité médicale en France. 
© SEVGI / SIPA