Peut-on quand même estimer la part des variants parmi les cas positifs ?

Le 5 février 2021 dans un centre de test Covid, à l'aéroport Paris Charles de Gaulle à Roissy. © Gonzalo Fuentes/AP/SIPA

Lors de la conférence de presse hebdomadaire du gouvernement sur l'épidémie de coronavirus, le 11 février, le ministre de la Santé Olivier Véran a indiqué que le variant anglais du Covid représentait 20 à 25% des contaminations en France et les variants sud-africain et brésilien 4 à 5%. "Chaque semaine que nous gagnons sur le variant britannique est une semaine de respiration pour le pays", a-t-il précisé, espérant "gagner assez de temps pour éviter un confinement".

Si les variants sud-africain et brésilien pourraient provoquer des réinfections, Olivier Véran a souligné que leur propagation n'était "pas encore inéluctable en France". Certaines régions sont toutefois sur le fil : la Moselle, notamment, avec près de 300 cas de "mutations évocatrices" des variants sud-africain et brésilien ces quatre derniers jours selon le ministre.

Lors de la conférence de presse hebdomadaire du gouvernement sur l'épidémie de coronavirus, le 11 février, le ministre de la Santé Olivier Véran a indiqué que le variant anglais du Covid représentait 20 à 25% des contaminations en France et les variants sud-africain et brésilien 4 à 5%. "Chaque semaine que nous gagnons sur le variant britannique est une semaine de respiration pour le pays", a-t-il précisé, espérant "gagner assez de temps pour éviter un confinement". Si les variants sud-africain et brésilien pourraient provoquer des réinfections, Olivier Véran a souligné que leur propagation n'était "pas encore inéluctable en France". Certaines régions sont toutefois sur le fil : la Moselle, notamment, avec près de 300 cas de "mutations évocatrices" des variants sud-africain et brésilien ces quatre derniers jours selon le ministre.
© Gonzalo Fuentes/AP/SIPA