Est-ce plus intéressant qu'un investissement classique ?

©  Gilles Paire / stock adobe
Sur ce point, les avis divergent. Une étude du Conseil des prélèvements obligataires, datant de 2018, avançait une rentabilité de 5,8% après réduction d'impôt, dans une hypothèse de stagnation des prix, rappelle Capital.fr, et jusqu'à 8% après fiscalité si les prix de l'immobilier s'orientent à la hausse.
Une autre étude de l'Inspection générale des finances de fin 2019, elle, se révèle beaucoup plus nuancée, indique le magazine, puisque la moitié des investissements en Pinel ne serait pas rentable. En cause, la perte de rendement au moment de la revente. En l'absence de hausse des prix, et donc de plus-value à la revente, la perte est évaluée à 16 000 euros en Pinel, contre 11 000 euros en moyenne pour un investissement dans l'ancien. Ces chiffres ne vous font pas peur ? Le rendement dépend aussi, et surtout, de la qualité et de l'emplacement du bien. 
Sur ce point, les avis divergent. Une étude du Conseil des prélèvements obligataires, datant de 2018, avançait une rentabilité de 5,8% après réduction d'impôt, dans une hypothèse de stagnation des prix, rappelle Capital.fr, et jusqu'à 8% après fiscalité si les prix de l'immobilier s'orientent à la hausse. Une autre étude de l'Inspection générale des finances de fin 2019, elle, se révèle beaucoup plus nuancée, indique le magazine, puisque la moitié des investissements en Pinel ne serait pas rentable. En cause, la perte de rendement au moment de la revente. En l'absence de hausse des prix, et donc de plus-value à la revente, la perte est évaluée à 16 000 euros en Pinel, contre 11 000 euros en moyenne pour un investissement dans l'ancien. Ces chiffres ne vous font pas peur ? Le rendement dépend aussi, et surtout, de la qualité et de l'emplacement du bien. 
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