Contester une amende pour téléphone au volant : possible ou pas ?

Pas facile de contester une amende pour téléphone au volant. Mais si vous êtes dans votre droit, ne renoncez pas. © nd3000/123RF
Si vous vous faites arrêter par les forces de l'ordre et êtes accusé à tort d'avoir utilisé votre téléphone au volant, ne reconnaissez pas l'infraction ! Ne signez pas non plus le procès-verbal, et ne payez rien. Vous mettrez toutes vos chances afin de contester l'amende par la suite. Comme pour tout PV, vous profitez d'un délai de 45 jours pour contester cette amende à compter de sa réception. Selon nos confrères d'Auto-Plus, il faut "bétonner votre dossier", car "le PV fait foi jusqu'à preuve du contraire". L'hebdomadaire automobile conseille ainsi d'attacher "la facture détaillée de votre opérateur" ou encore "les attestations des personnes présentes dans l'auto avec copie des pièces d'identité". Et si cela ne suffit pas, il ne vous reste plus qu'à vous munir d'un bon avocat… Ou payer. Cette infraction reste sans doute l'une des plus difficiles à contester, tant elle est dépendante de l'appréciation de l'agent verbalisateur.
Si vous vous faites arrêter par les forces de l'ordre et êtes accusé à tort d'avoir utilisé votre téléphone au volant, ne reconnaissez pas l'infraction ! Ne signez pas non plus le procès-verbal, et ne payez rien. Vous mettrez toutes vos chances afin de contester l'amende par la suite. Comme pour tout PV, vous profitez d'un délai de 45 jours pour contester cette amende à compter de sa réception. Selon nos confrères d'Auto-Plus, il faut "bétonner votre dossier", car "le PV fait foi jusqu'à preuve du contraire". L'hebdomadaire automobile conseille ainsi d'attacher "la facture détaillée de votre opérateur" ou encore "les attestations des personnes présentes dans l'auto avec copie des pièces d'identité". Et si cela ne suffit pas, il ne vous reste plus qu'à vous munir d'un bon avocat… Ou payer. Cette infraction reste sans doute l'une des plus difficiles à contester, tant elle est dépendante de l'appréciation de l'agent verbalisateur.
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Guillaume Bardou et Quentin Guéroult