La révélation de la danse

© PJB/SIPA
Alors qu'elle s'apprête à jouer dans le film "Agathe Cléry" , Valérie Lemercier découvre la danse et l'entrainement que cela nécessite.
Elle découvre alors son corps face au miroir. "Je fais trois heures de danse par jour pour la préparation du prochain film d'Etienne Chatiliez. Et pour la première fois, je me regarde dans le miroir. J'avais déjà pris des cours, mais j'arrivais toujours à me cacher derrière celle de devant. Là, non. Trois heures face à moi-même."
"C'est pesant pour moi qui déteste me regarder, même pour me maquiller, qui ne regarde jamais mes spectacles ni mes films. Mais je pense que ça m'aide à être plus clémente, plus à l'aise, à me voir comme une femme. J'ai d'ailleurs découvert, à ma grande surprise, que j'avais la taille fine. Avant, je m'habillais avec de grands machins qui faisaient tonneau pour me cacher. Pendant longtemps, j'ai dû être un genre de tue-l'amour."
Alors qu'elle s'apprête à jouer dans le film "Agathe Cléry" , Valérie Lemercier découvre la danse et l'entrainement que cela nécessite. Elle découvre alors son corps face au miroir. "Je fais trois heures de danse par jour pour la préparation du prochain film d'Etienne Chatiliez. Et pour la première fois, je me regarde dans le miroir. J'avais déjà pris des cours, mais j'arrivais toujours à me cacher derrière celle de devant. Là, non. Trois heures face à moi-même." "C'est pesant pour moi qui déteste me regarder, même pour me maquiller, qui ne regarde jamais mes spectacles ni mes films. Mais je pense que ça m'aide à être plus clémente, plus à l'aise, à me voir comme une femme. J'ai d'ailleurs découvert, à ma grande surprise, que j'avais la taille fine. Avant, je m'habillais avec de grands machins qui faisaient tonneau pour me cacher. Pendant longtemps, j'ai dû être un genre de tue-l'amour."
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