Des dettes outrancières

Baudelaire dépense très vite son héritage paternel et s'endette. © gabe123 / 123RF
Baudelaire aime le luxe et les œuvres d'art. Il achète des copies de toiles de maîtres à Arondel, un brocanteur installé à Paris. En bon dandy qui se respecte, Charles ne porte que des pantalons faits sur mesure, ne sort jamais sans son chapeau haut-de-forme et arbore fièrement son habit en queue-de-pie.

Fin gourmet, il ne goûte que des mets délicats et raffinés. Il offre à son ami Sainte-Beuve le meilleur des pains d'épice et promulgue des conseils en matière de bière à Alfred de Vigny. Toujours en quête de confort, il ne cesse de déménager, passant de la rue Vaneau au quai d'Anjou à Paris, en à peine six mois.

Il dépense beaucoup et s'endette encore plus. Ses proches jugent ses frais outranciers et convoquent un conseil judiciaire.
Baudelaire aime le luxe et les œuvres d'art. Il achète des copies de toiles de maîtres à Arondel, un brocanteur installé à Paris. En bon dandy qui se respecte, Charles ne porte que des pantalons faits sur mesure, ne sort jamais sans son chapeau haut-de-forme et arbore fièrement son habit en queue-de-pie. Fin gourmet, il ne goûte que des mets délicats et raffinés. Il offre à son ami Sainte-Beuve le meilleur des pains d'épice et promulgue des conseils en matière de bière à Alfred de Vigny. Toujours en quête de confort, il ne cesse de déménager, passant de la rue Vaneau au quai d'Anjou à Paris, en à peine six mois. Il dépense beaucoup et s'endette encore plus. Ses proches jugent ses frais outranciers et convoquent un conseil judiciaire.
© gabe123 / 123RF