Une liaison passionnelle

Jeanne Lemer, sa maîtresse, sa muse. © Dessin de Baudelaire - Domaine Public
Jeanne Lemer. Un nom dont Charles Baudelaire se souviendra toute sa vie. Il fait la connaissance de cette "mulâtresse" en 1842, dans les Indes.

Jeune comédienne, elle devient sa muse, lui inspirant de nombreux poèmes. Elle trouble l'esprit du poète. Belle, exotique, fascinante, sensuelle et tentatrice, elle incarne la splendeur mais également le diabolisme et l'amour charnel.

Baudelaire fait preuve d'une loyauté absolue à son égard. Vingt ans après leur liaison chaotique, où ruptures et trahisons s'enchaînent, Charles ne l'abandonne pas, allant jusqu'à s'endetter encore plus pour elle. Il la loge, la nourrit, lui paye son vin, son tabac et lui rend visite quotidiennement. Le poète est totalement dévoué à son ancienne maîtresse.
Jeanne Lemer. Un nom dont Charles Baudelaire se souviendra toute sa vie. Il fait la connaissance de cette "mulâtresse" en 1842, dans les Indes. Jeune comédienne, elle devient sa muse, lui inspirant de nombreux poèmes. Elle trouble l'esprit du poète. Belle, exotique, fascinante, sensuelle et tentatrice, elle incarne la splendeur mais également le diabolisme et l'amour charnel. Baudelaire fait preuve d'une loyauté absolue à son égard. Vingt ans après leur liaison chaotique, où ruptures et trahisons s'enchaînent, Charles ne l'abandonne pas, allant jusqu'à s'endetter encore plus pour elle. Il la loge, la nourrit, lui paye son vin, son tabac et lui rend visite quotidiennement. Le poète est totalement dévoué à son ancienne maîtresse.
© Dessin de Baudelaire - Domaine Public