"Le procès" de Kafka : plongée dans l'absurde

Le procès © LES ACACIAS - Pocket

 En quelques mots : Joseph K. est accusé d'un crime dont il ignore tout. Sommé de se rendre à son procès, il découvre une assemblée de vieillards accusateurs, véritables maniaques de la culpabilité.
Les scènes les plus absurdes s'enchaînent, sans que K. ne puisse comprendre le rôle ni la signification de tous ses démêlés avec l'institution judiciaire. Lorsqu'il clame son innocence, on lui répond : "innocent de quoi ?" 

 Pourquoi on n'y passerait pas nos vacances : Aucun autre roman n'est arrivé à faire transparaître une telle atmosphère de trouble, de malaise, d'incompréhension.
Chaque relation avec un autre être humain finit par être terriblement anxiogène. Le top du top pour finir en congés prolongés en camisole de force.

 En quelques mots : Joseph K. est accusé d'un crime dont il ignore tout. Sommé de se rendre à son procès, il découvre une assemblée de vieillards accusateurs, véritables maniaques de la culpabilité. Les scènes les plus absurdes s'enchaînent, sans que K. ne puisse comprendre le rôle ni la signification de tous ses démêlés avec l'institution judiciaire. Lorsqu'il clame son innocence, on lui répond : "innocent de quoi ?"  Pourquoi on n'y passerait pas nos vacances : Aucun autre roman n'est arrivé à faire transparaître une telle atmosphère de trouble, de malaise, d'incompréhension. Chaque relation avec un autre être humain finit par être terriblement anxiogène. Le top du top pour finir en congés prolongés en camisole de force.
© LES ACACIAS - Pocket