La "peur" de Jean-Jacques Goldman des agressions antisémites

SIPA 00111261 000001 © BENAROCH/SIPA (publiée le 09/10/2024)
Dans le livre "Il suffira d'un signe" (2021), écrit par le musicien Jean Bender, cet ex-camarade d'école de Jean-Jacques Goldman et toujours en contact avec l'artiste, explique que la discrétion si prononcée du chanteur dans les médias serait la suite directe de l'assassinat de son frère. Un traumatisme qui va le pousser à cacher sa vie privée quand il ne s'agit pas de se cacher lui-même. "Jean-Jacques avait peur d'être victime d'une agression antisémite ou politique, une crainte qui ne l'a jamais quitté et qui explique aussi sa retenue", peut-on lire.
Dans le livre "Il suffira d'un signe" (2021), écrit par le musicien Jean Bender, cet ex-camarade d'école de Jean-Jacques Goldman et toujours en contact avec l'artiste, explique que la discrétion si prononcée du chanteur dans les médias serait la suite directe de l'assassinat de son frère. Un traumatisme qui va le pousser à cacher sa vie privée quand il ne s'agit pas de se cacher lui-même. "Jean-Jacques avait peur d'être victime d'une agression antisémite ou politique, une crainte qui ne l'a jamais quitté et qui explique aussi sa retenue", peut-on lire.
© BENAROCH/SIPA (publiée le 09/10/2024)