Un papy "satanique"

Eddy Mitchell au Téléthon 2017. © SADAKA EDMOND/SIPA

Extrêmement discret, le chanteur a toujours voulu protéger "son clan" comme il l'appelle lui-même. Seules quelques questions sur sa vie privée ont filtré lors d'interviews, notamment une dans Le Parisien, qui lui demandait quel genre de grand-père il était. "Plutôt satanique. Je ne m'occupais absolument pas de ce que faisait mon petit-fils à l'école. C'est un tort. Il a 18 ans maintenant. Je ne le pousse pas dans ses études mais pas dans le caniveau non plus. Je lui fais à manger, je le nourris. Je suis très gentil, mais je ne suis pas ce qu'attend ma fille", explique-t-il, se souvenant toutefois : "Je lui ai acheté une guitare d'enfer parce qu'il joue très bien. Je suis allé chez Paul Beuscher, à la Bastille. J'ai dit : 'Bonjour, c'est encore moi.' Je n'y avais plus remis les pieds depuis trente ans. 'Je voudrais la Gibson qu'avait le soliste des Chaussettes Noires'. Le mec avait 20 ans. Il m'a pris pour un martien."

Extrêmement discret, le chanteur a toujours voulu protéger "son clan" comme il l'appelle lui-même. Seules quelques questions sur sa vie privée ont filtré lors d'interviews, notamment une dans Le Parisien, qui lui demandait quel genre de grand-père il était. "Plutôt satanique. Je ne m'occupais absolument pas de ce que faisait mon petit-fils à l'école. C'est un tort. Il a 18 ans maintenant. Je ne le pousse pas dans ses études mais pas dans le caniveau non plus. Je lui fais à manger, je le nourris. Je suis très gentil, mais je ne suis pas ce qu'attend ma fille", explique-t-il, se souvenant toutefois : "Je lui ai acheté une guitare d'enfer parce qu'il joue très bien. Je suis allé chez Paul Beuscher, à la Bastille. J'ai dit : 'Bonjour, c'est encore moi.' Je n'y avais plus remis les pieds depuis trente ans. 'Je voudrais la Gibson qu'avait le soliste des Chaussettes Noires'. Le mec avait 20 ans. Il m'a pris pour un martien."
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