Le kitsch des hardeux : Kiss & Manowar

Kiss : Destroyer (1976, en bas) et Manowar : Fighting the World (1987, en haut) © Casablanca - Universal / Atco-Warner

Kiss/Manowar

Amis du bon goût et de la retenue, passez votre chemin, on est ici dans le domaine de l'outrance à tout va. Quoi de plus normal avec Kiss, groupe américain qui a fondé sa carrière sur l'exubérance (plutôt, diront les mauvaises langues, que sur la musique).

Et encore ne parlons pas de Manowar, groupe de "death metal", rien que ça.

Pour ceux qui auraient le courage d'examiner en détail les pochettes, on voit tout ce qui sépare Kiss, un peu foufous mais finalement assez softs, de Manowar qui pousse tout - ça se passe dix ans après, cela dit - un petit peu plus loin.


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