Une pudeur bien placée

Ci-dessus, le stéthoscope moderne que nous connaissons. © Henri Schmit-Fotolia.com

Qui aurait pu penser que la découverte de cet instrument majeur dans le diagnostic de maladies cardio-pulmonaires serait née d'une gêne ?

En 1816, le docteur Laennec rend visite à une patiente. Au lieu de coller son oreille sur sa poitrine et de la mettre mal à l'aise, le médecin demande un cahier qu'il roule en tube puis applique sur son thorax. Il fut étonné d'entendre convenablement les battements du cœur.

Il se rend alors compte qu'en développant cet outil, il pourra entendre les bruits de la respiration et déceler des problèmes pulmonaires en plus de ceux du cœur. Le stéthoscope est né.

Qui aurait pu penser que la découverte de cet instrument majeur dans le diagnostic de maladies cardio-pulmonaires serait née d'une gêne ? En 1816, le docteur Laennec rend visite à une patiente. Au lieu de coller son oreille sur sa poitrine et de la mettre mal à l'aise, le médecin demande un cahier qu'il roule en tube puis applique sur son thorax. Il fut étonné d'entendre convenablement les battements du cœur. Il se rend alors compte qu'en développant cet outil, il pourra entendre les bruits de la respiration et déceler des problèmes pulmonaires en plus de ceux du cœur. Le stéthoscope est né.
© Henri Schmit-Fotolia.com