José Maria Jimenez, emporté par ses addictions

© EFE AGENCIA/SIPA
Décédé en 2003 d'un crise cardiaque à l'âge de 32 ans, José Maria Jimenez n'a jamais été contrôlé positif durant sa carrière mais l'ombre du dopage plane tout de même au-dessus de la mort du grimpeur espagnol, vainqueur de neuf sur le Tour d'Espagne durant sa carrière.

Jimenez, qui a vécu ses dernière heures dans une clinique psychiatrique de Madrid où il avait décidé de suivre une cure de désintoxication, a probablement été l'une des victimes collatérales du dopage. "Le dopage conduit à d'autres addictions, de nombreux coureurs deviennent ensuite accros à la cocaïne, à l'héroïne ou à d'autres substances, confiera ainsi en 2006 Jesus Manzano, ancien coéquipier de Jimenez. Le dopage a tué El Chava comme il a tué Pantani."
Décédé en 2003 d'un crise cardiaque à l'âge de 32 ans, José Maria Jimenez n'a jamais été contrôlé positif durant sa carrière mais l'ombre du dopage plane tout de même au-dessus de la mort du grimpeur espagnol, vainqueur de neuf sur le Tour d'Espagne durant sa carrière. Jimenez, qui a vécu ses dernière heures dans une clinique psychiatrique de Madrid où il avait décidé de suivre une cure de désintoxication, a probablement été l'une des victimes collatérales du dopage. "Le dopage conduit à d'autres addictions, de nombreux coureurs deviennent ensuite accros à la cocaïne, à l'héroïne ou à d'autres substances, confiera ainsi en 2006 Jesus Manzano, ancien coéquipier de Jimenez. Le dopage a tué El Chava comme il a tué Pantani."
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