Jean-Louis Triaud et l'UNFP

Le président des Girondins de Bordeaux se moque des revendications de l'UNFP. © L'Internaute Magazine

Fin octobre, le syndicat des joueurs de football professionnel (UNFP) a appelé à la grève des joueurs et des arbitres. En cause, le projet de réforme du conseil d'administration de la LFP octroyant la majorité des voix aux présidents de clubs (aux détriments des autres "familles" du foot : joueurs, entraîneurs et arbitres).

Pour Jean-Louis Triaud, le président des Girondins de Bordeaux, ce mouvement n'avait pas lieu d'être. "Cela m'étonnerait qu'une grève se fasse. Ce serait la première fois qu'un syndicat de millionnaires se met en grève. En tout cas, à Bordeaux, il n'y aura pas grève".

Finalement, l'appel à la grève a été levé le soir du 16 octobre, les représentants de l'UNFP estimant que des compromis suffisants avaient été faits.

Fin octobre, le syndicat des joueurs de football professionnel (UNFP) a appelé à la grève des joueurs et des arbitres. En cause, le projet de réforme du conseil d'administration de la LFP octroyant la majorité des voix aux présidents de clubs (aux détriments des autres "familles" du foot : joueurs, entraîneurs et arbitres). Pour Jean-Louis Triaud, le président des Girondins de Bordeaux, ce mouvement n'avait pas lieu d'être. "Cela m'étonnerait qu'une grève se fasse. Ce serait la première fois qu'un syndicat de millionnaires se met en grève. En tout cas, à Bordeaux, il n'y aura pas grève". Finalement, l'appel à la grève a été levé le soir du 16 octobre, les représentants de l'UNFP estimant que des compromis suffisants avaient été faits.
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