Fabrice Santoro : jeu, set et match

Fabrice Santoro à Roland Garros en 2007. © L'Internaute Magazine / Cécile Debise

Quand ?

Le 8 novembre 2009, à 36 ans et 11 mois, Fabrice Santoro range définitivement ses raquettes. Il joue son dernier match contre James Blake, au Masters 1000 de Paris-Bercy. 

Pourquoi ?

"J'ai passé 20 ans de ma vie dans une machine à laver sur le mode essorage. Maintenant, je vais prendre le temps de vivre. Il est temps de laisser la place aux jeunes" a-t-il confié.

Ce qu'il faut retenir de sa carrière

- 6 titres en simple, 24 titres en double
- Vainqueur en double de l'Open d'Australie avec Mickaël Llodra en 2003 et 2004
- Vainqueur de Roland Garros en double mixte avec Daniela Hantuchova en 2005
- Surnommé "Le Magicien" par l'immense champion Pete Sampras

Et après ?

"J'ai commencé à mettre un pied dans les médias et un autre pied dans l'événementiel avec l'Open de Moselle. J'ai beaucoup de propositions depuis la fin de l'été, mais je n'ai pas encore pris de décision [...] Je n'envisage pas être coach en 2010 ou 2011. Peut-être un jour, cela me démangera, mais pas pour l'instant".

Quand ? Le 8 novembre 2009, à 36 ans et 11 mois, Fabrice Santoro range définitivement ses raquettes. Il joue son dernier match contre James Blake, au Masters 1000 de Paris-Bercy.  Pourquoi ? "J'ai passé 20 ans de ma vie dans une machine à laver sur le mode essorage. Maintenant, je vais prendre le temps de vivre. Il est temps de laisser la place aux jeunes" a-t-il confié. Ce qu'il faut retenir de sa carrière - 6 titres en simple, 24 titres en double- Vainqueur en double de l'Open d'Australie avec Mickaël Llodra en 2003 et 2004- Vainqueur de Roland Garros en double mixte avec Daniela Hantuchova en 2005- Surnommé "Le Magicien" par l'immense champion Pete Sampras Et après ? "J'ai commencé à mettre un pied dans les médias et un autre pied dans l'événementiel avec l'Open de Moselle. J'ai beaucoup de propositions depuis la fin de l'été, mais je n'ai pas encore pris de décision [...] Je n'envisage pas être coach en 2010 ou 2011. Peut-être un jour, cela me démangera, mais pas pour l'instant".
© L'Internaute Magazine / Cécile Debise