Julie Coin

Julie Coin au tournoi de New South Wales en janvier 2005. © Paddy Napper

Julie Coin, membre de l'équipe de France de Fed Cup depuis cette année, s'est fait connaître en 2008 après avoir éliminée la n°1 mondiale d'alors, Ana Ivanovic, au 2e tour de l'US Open. Pour sa première apparition en Grand Chelem, la Française est entrée dans l'histoire du tennis : jamais, depuis le début de l'ère Open, la n°1 n'avait chuté aussi tôt dans le tournoi.

L'histoire est belle pour cette ancienne partenaire de club de Mauresmo, exilée très tôt aux Etats-Unis pour ses études. Diplômée en mathématiques, Julie Coin a défendu les couleurs de la Clemson University (Caroline du Sud) de 2002 à 2005.

Grâce à elle, l'équipe des Clemson Tigers a atteint par deux fois le Final Four du championnat universitaire américain (NCAA). En 2004, la native d'Amiens a été élue joueuse de l'année dans la conférence Est, après avoir atteint les demi-finales de la NCAA en individuel (ce qu'aucun étudiant de Clemson n'avait réussi auparavant).

Julie Coin, membre de l'équipe de France de Fed Cup depuis cette année, s'est fait connaître en 2008 après avoir éliminée la n°1 mondiale d'alors, Ana Ivanovic, au 2e tour de l'US Open. Pour sa première apparition en Grand Chelem, la Française est entrée dans l'histoire du tennis : jamais, depuis le début de l'ère Open, la n°1 n'avait chuté aussi tôt dans le tournoi. L'histoire est belle pour cette ancienne partenaire de club de Mauresmo, exilée très tôt aux Etats-Unis pour ses études. Diplômée en mathématiques, Julie Coin a défendu les couleurs de la Clemson University (Caroline du Sud) de 2002 à 2005. Grâce à elle, l'équipe des Clemson Tigers a atteint par deux fois le Final Four du championnat universitaire américain (NCAA). En 2004, la native d'Amiens a été élue joueuse de l'année dans la conférence Est, après avoir atteint les demi-finales de la NCAA en individuel (ce qu'aucun étudiant de Clemson n'avait réussi auparavant).
© Paddy Napper