Louison Bobet et le corbeau

Louison Bobet © DALMAS- SIPA
Dans la catégorie "cyclistes superstitieux", Louison Bobet occupe probablement une place sur le podium. L'anecdote est racontée par Henri Sannier, dans son livre "Les histoires secrètes du Tour". Lors du Tour de France 1955, l'équipe tricolore recevait des lettres mystérieuses annonçant de grands dangers pour les coureurs. D'après le "corbeau", Louison Bobet risquait de chuter dans la descente du col d'Aubisque. Apeuré par ce mauvais présage, le Français passera son temps à freiner.

Louison Bobet était également fasciné par le numéro 41. Avant chaque course, il se renseignait pour savoir qui portait ce chasuble. Pourquoi le 41 ? Parce que le Breton a obtenu sa première victoire de cycliste en 1941. Et parce qu'il a été incorporé au 41e régiment d'infanterie avant de s'installer à Fontenay sous Bois, au 41 de la rue Roublot...
Dans la catégorie "cyclistes superstitieux", Louison Bobet occupe probablement une place sur le podium. L'anecdote est racontée par Henri Sannier, dans son livre "Les histoires secrètes du Tour". Lors du Tour de France 1955, l'équipe tricolore recevait des lettres mystérieuses annonçant de grands dangers pour les coureurs. D'après le "corbeau", Louison Bobet risquait de chuter dans la descente du col d'Aubisque. Apeuré par ce mauvais présage, le Français passera son temps à freiner. Louison Bobet était également fasciné par le numéro 41. Avant chaque course, il se renseignait pour savoir qui portait ce chasuble. Pourquoi le 41 ? Parce que le Breton a obtenu sa première victoire de cycliste en 1941. Et parce qu'il a été incorporé au 41e régiment d'infanterie avant de s'installer à Fontenay sous Bois, au 41 de la rue Roublot...
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