Retrouvailles

Le skipper de Bureau Vallée a fait part de son soulagement à l'arrivée. "Le gars ou la fille qui a cuisiné l'entrecôte que je viens de manger, j'aimerais bien la rencontrer (sourire). C'est trop bon, a-t-il confié dans des propos repris par Le Figaro. On a vu un peu court sur le gaz à bord. Depuis quinze jours, je ne pouvais donc plus réchauffer les plats qui me restaient. Je n'avais plus de désalinisateur non plus, donc pour cuire le riz ce n'était pas évident. Je suis arrivé très court en nourriture. J'ai bu toute à l'heure les dernières gouttes d'eau douce que j'avais, de la pluie récoltée dans le du pot au noir".
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