Un mandat à la tête de la FFR pollué par les affaires

Une affaire de favoritisme complique le mandat de Bernard Laporte. © CHRISTOPHE SAIDISIPA
Le mandat de Bernard Laporte à la tête de la Fédération française de rugby n'est pas un long fleuve tranquille.  Le président de la FFR doit ainsi faire face à des soupçons dans plusieurs "affaires". Il fait notamment l'objet d'une enquête demandée par le ministère des Sports au sujet d'accusations de favoritisme au profit du club de Montpellier Mohed Altrad (il est suspecté d'avoir influé sur certaines décisions de la commission de discipline). De plus le Canard Enchaîné a récemment pointé un possible conflit d'intérêt, par le biais de la société Sportzap Limited, qui souhaiterait se lancer dans l'acquisition de droits sportifs et dans laquelle Bernard Laporte serait actionnaire.

Par ailleurs, la candidature de la France pour l'organisation de la Coupe du monde 2023, portée par Bernard Laporte, semble pour le moment mal engagée. Les rapports donnent pour le moment l'avantage à l'Afrique du Sud, l'autre candidat...
Le mandat de Bernard Laporte à la tête de la Fédération française de rugby n'est pas un long fleuve tranquille.  Le président de la FFR doit ainsi faire face à des soupçons dans plusieurs "affaires". Il fait notamment l'objet d'une enquête demandée par le ministère des Sports au sujet d'accusations de favoritisme au profit du club de Montpellier Mohed Altrad (il est suspecté d'avoir influé sur certaines décisions de la commission de discipline). De plus le Canard Enchaîné a récemment pointé un possible conflit d'intérêt, par le biais de la société Sportzap Limited, qui souhaiterait se lancer dans l'acquisition de droits sportifs et dans laquelle Bernard Laporte serait actionnaire. Par ailleurs, la candidature de la France pour l'organisation de la Coupe du monde 2023, portée par Bernard Laporte, semble pour le moment mal engagée. Les rapports donnent pour le moment l'avantage à l'Afrique du Sud, l'autre candidat...
© CHRISTOPHE SAIDISIPA