En octobre 2013, Benoît Paire, touché à la cheville, se présente tout de même sur le court du tournoi de Bercy pour affronter son compatriote Pierre-Hugues Herbert, mais a bien du mal à rivaliser. Le public, déçu, se manifeste, ce qui a le don d'agacer le joueur. Après la rencontre, Paire se montrera sans pitié avec les spectateurs : " Il n'y a pas grand-monde qui comprend le tennis dans ce stade. Les gens ne comprennent rien. Ils sifflent tout. Ce sont des abrutis ! Je suis top 30, j'aimerais bien voir combien ils sont classés. A Paris, j'ai l'habitude. C'est tous les ans comme ça, ça ne me touche même plus. Dès le début, quand on a énoncé mon palmarès, je me suis fait siffler par quelques personnes".
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