Jean-Luc Reichmann : vendeur de saucisses

Jean-Luc Reichmann, vendeur de saucisse de Toulouse, sa région natale ! © PJB/SIPA

"Elle est fraîche ma saucisse !"

C'est en vendant des saucisses sur un parking d'hypermarché Mammouth, à Balma près de Toulouse, que Jean-Luc Reichmann a touché son premier salaire pour se payer sa première mobylette. "J'ai commencé en tant qu'apprenti-charcutier à l'âge de 14 ans, à découper des têtes de cochon en deux, enlever la cervelle et le noir des yeux parce que je me suis rendu compte que dans le pâté de tête, le noir aussi était bon !"
Des souvenirs de son premier boulot que l'animateur préféré de la pause-déjeuner n'a pas oublié, se confiant au micro de Laurent Marsick sur RTL. A force de faire rire ses collègues avec ses blagues, le patron l'a envoyé sur le parking pour vendre les saucisses de Toulouse. Bizutage réussi : "J'ai vendu en cinq jours quatre tonnes de saucisses à hurler 'elle est fraîche ma saucisse !'" 

"Elle est fraîche ma saucisse !" C'est en vendant des saucisses sur un parking d'hypermarché Mammouth, à Balma près de Toulouse, que Jean-Luc Reichmann a touché son premier salaire pour se payer sa première mobylette. "J'ai commencé en tant qu'apprenti-charcutier à l'âge de 14 ans, à découper des têtes de cochon en deux, enlever la cervelle et le noir des yeux parce que je me suis rendu compte que dans le pâté de tête, le noir aussi était bon !" Des souvenirs de son premier boulot que l'animateur préféré de la pause-déjeuner n'a pas oublié, se confiant au micro de Laurent Marsick sur RTL. A force de faire rire ses collègues avec ses blagues, le patron l'a envoyé sur le parking pour vendre les saucisses de Toulouse. Bizutage réussi : "J'ai vendu en cinq jours quatre tonnes de saucisses à hurler 'elle est fraîche ma saucisse !'" 
© PJB/SIPA