Voiture balai et lanterne rouge

La voiture-balai récupère les coureurs qui abandonnent la course ou qui sont "hors-délais". © Marie-Pierre Borderon

La première "voiture-balai" a fait son apparition dans le Tour de France en 1910. C'était la première fois que le peloton s'attaquait à la haute-montagne et certains coureurs abandonnaient dans l'ascension.

A quoi sert-elle ? Située en toute fin de cortège, derrière les retardataires, elle "récupère" les cyclistes qui, épuisés, renoncent à terminer l'étape (et donc le Tour). Elle est aussi chargée de stopper ceux qui, n'avançant pas assez vite, se retrouvent hors-délais (l'étape doit être bouclée dans un temps précis selon son profil, par exemple "6h50 maximum").

Si la voiture-balai est un mini-bus, elle est souvent "décorée" comme un véhicule de la caravane publicitaire.

Autre expression souvent utilisée en cyclisme : la lanterne rouge. Elle désigne le coureur qui pointe à la dernière place. En général, la voiture-balai guette avec avidité ce coureur plus lent que les autres !

La première "voiture-balai" a fait son apparition dans le Tour de France en 1910. C'était la première fois que le peloton s'attaquait à la haute-montagne et certains coureurs abandonnaient dans l'ascension. A quoi sert-elle ? Située en toute fin de cortège, derrière les retardataires, elle "récupère" les cyclistes qui, épuisés, renoncent à terminer l'étape (et donc le Tour). Elle est aussi chargée de stopper ceux qui, n'avançant pas assez vite, se retrouvent hors-délais (l'étape doit être bouclée dans un temps précis selon son profil, par exemple "6h50 maximum"). Si la voiture-balai est un mini-bus, elle est souvent "décorée" comme un véhicule de la caravane publicitaire. Autre expression souvent utilisée en cyclisme : la lanterne rouge. Elle désigne le coureur qui pointe à la dernière place. En général, la voiture-balai guette avec avidité ce coureur plus lent que les autres !
© Marie-Pierre Borderon