Complot dans la Forêt Noire

La Forêt Noire © Caroline Pettinotti

Selon les autorités fédérales, il s'agit des "plus graves tentatives d'attentats" jamais préparées sur le territoire allemand. Le 5  septembre 2007, trois islamistes présumés liés à Al-Qaïda, deux Allemands et un Turc, sont arrêtés outre-Rhin. Ils préparaient plusieurs attaques à la voiture piégée en Allemagne, contre des cibles occidentales et américaines. Le plan "atroce" est immédiatement décortiqué dans la presse. Fritz G. et ses deux complices, formés dans un camp d'entraînement du nord du Pakistan, ont amassé pendant des semaines une quantité étonnante de produits chimiques dans des caches de la Forêt noire pour fabriquer des bombes. Au moment de l'arrestation, le trio possédait déjà vingt fois plus d'explosifs que la quantité utilisée lors des attentats de 2004 à Madrid (200 morts). Provoquant la psychose à Berlin, l'événement n'a pas été sans susciter quelques questions voir des polémiques sur l'amateurisme des terroristes, leur manque de discrétion, et donc sur la réalité de la menace...

Selon les autorités fédérales, il s'agit des "plus graves tentatives d'attentats" jamais préparées sur le territoire allemand. Le 5  septembre 2007, trois islamistes présumés liés à Al-Qaïda, deux Allemands et un Turc, sont arrêtés outre-Rhin. Ils préparaient plusieurs attaques à la voiture piégée en Allemagne, contre des cibles occidentales et américaines. Le plan "atroce" est immédiatement décortiqué dans la presse. Fritz G. et ses deux complices, formés dans un camp d'entraînement du nord du Pakistan, ont amassé pendant des semaines une quantité étonnante de produits chimiques dans des caches de la Forêt noire pour fabriquer des bombes. Au moment de l'arrestation, le trio possédait déjà vingt fois plus d'explosifs que la quantité utilisée lors des attentats de 2004 à Madrid (200 morts). Provoquant la psychose à Berlin, l'événement n'a pas été sans susciter quelques questions voir des polémiques sur l'amateurisme des terroristes, leur manque de discrétion, et donc sur la réalité de la menace...
© Caroline Pettinotti