Une bombe en plein Time Square

Time Square. © Isabelle Cavalli Langan Audry

L'attaque ratée de Time Square, en plein New-York, a fait froid dans le dos juste avant l'été 2010. Le samedi 1er mai, ce quartier emblématique de la grosse pomme est bouclé et des milliers d'habitants, de salariés et de touristes doivent être évacués. La cause ? Un témoin vient d'alerter la police sur un véhicule tout terrain aux vitre teintés laissant s'échapper de la fumée. Garée entre la 45e rue et la 7e avenue, la voiture est vite prise en charge par les experts en explosifs et la confirmation tombe : elle contenait bien une bombe et aurait pu provoquer "un événement très meurtrier". Plusieurs témoins et les caméras de vidéosurveillance, font apparaitre dans les 24 heures l'image de son conducteur, un homme blanc d'une quarantaine d'année qui a changé de chemise en sortant du véhicule. Considéré dans un premier temps comme un acte isolé, l'attentat raté a ensuite été revendiqué par les talibans pakistanais.

L'attaque ratée de Time Square, en plein New-York, a fait froid dans le dos juste avant l'été 2010. Le samedi 1er mai, ce quartier emblématique de la grosse pomme est bouclé et des milliers d'habitants, de salariés et de touristes doivent être évacués. La cause ? Un témoin vient d'alerter la police sur un véhicule tout terrain aux vitre teintés laissant s'échapper de la fumée. Garée entre la 45e rue et la 7e avenue, la voiture est vite prise en charge par les experts en explosifs et la confirmation tombe : elle contenait bien une bombe et aurait pu provoquer "un événement très meurtrier". Plusieurs témoins et les caméras de vidéosurveillance, font apparaitre dans les 24 heures l'image de son conducteur, un homme blanc d'une quarantaine d'année qui a changé de chemise en sortant du véhicule. Considéré dans un premier temps comme un acte isolé, l'attentat raté a ensuite été revendiqué par les talibans pakistanais.
© Isabelle Cavalli Langan Audry