Comparution ultra-sécurisée

Le palais de Justice de Bruxelles. © VIRGINIA MAYO / AP / SIPA
La demande de libération conditionnelle de Marc Dutroux a quand même été étudiée. Et sa comparution, le 4 février 2013, devant le tribunal d'application des peines de Bruxelles, s'est révélée ultra-sécurisée. Face à la menace d'une évasion, Marc Dutroux a fait l'objet d'une batterie de mesures de sécurité : dix membres d'unités spécialisées dans les transferts l'ont notamment escorté, ainsi qu'un hélicoptère de la police fédérale.

La demande de libération conditionnelle a finalement été rejetée par le parquet le 18 février 2013 à cause du risque de récidive et de "l'absence de perspective de réinsertion".

Quant à Michelle Martin, qui a divorcé de Marc Dutroux en prison en 2003, elle a vu sa demande de libération conditionnelle aboutir en 2012, après 16 ans de détention. Depuis, elle a séjourné dans un monastère et suivi des cours de droit à Namur.
La demande de libération conditionnelle de Marc Dutroux a quand même été étudiée. Et sa comparution, le 4 février 2013, devant le tribunal d'application des peines de Bruxelles, s'est révélée ultra-sécurisée. Face à la menace d'une évasion, Marc Dutroux a fait l'objet d'une batterie de mesures de sécurité : dix membres d'unités spécialisées dans les transferts l'ont notamment escorté, ainsi qu'un hélicoptère de la police fédérale. La demande de libération conditionnelle a finalement été rejetée par le parquet le 18 février 2013 à cause du risque de récidive et de "l'absence de perspective de réinsertion". Quant à Michelle Martin, qui a divorcé de Marc Dutroux en prison en 2003, elle a vu sa demande de libération conditionnelle aboutir en 2012, après 16 ans de détention. Depuis, elle a séjourné dans un monastère et suivi des cours de droit à Namur.
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