Des actrices "revendues" à d'autres productions

Des actrices "revendues" © 123rf
C'est un élément qui est évoqué par les journalistes d'investigation du Monde : certaines jeunes femmes exploitées auraient été "revendues à d'autres productions, moyennant commission". Comme l'indique le média, si ce fait est juridiquement établi, alors ces pratiques pourraient être requalifiées en "proxénétisme", "un tournant judiciaire redouté par le secteur de la pornographie". Le Monde publie notamment un échange de SMS entre Pascal OP (cité plus haut) et un collaborateur : "On la vend à qui la grosse ?" Réponse : "Celian [un autre réalisateur] prendra on le fait banquer com [commission]. (…). Gros nichon obligé". Puis vient cette confirmation : "G envoyé grosse black a celian on va lui demander 100/150 €". Les faits reprochés, malgré de nombreux exemples, sont contestés avec vigueur par les avocats des mis en cause.
C'est un élément qui est évoqué par les journalistes d'investigation du Monde : certaines jeunes femmes exploitées auraient été "revendues à d'autres productions, moyennant commission". Comme l'indique le média, si ce fait est juridiquement établi, alors ces pratiques pourraient être requalifiées en "proxénétisme", "un tournant judiciaire redouté par le secteur de la pornographie". Le Monde publie notamment un échange de SMS entre Pascal OP (cité plus haut) et un collaborateur : "On la vend à qui la grosse ?" Réponse : "Celian [un autre réalisateur] prendra on le fait banquer com [commission]. (…). Gros nichon obligé". Puis vient cette confirmation : "G envoyé grosse black a celian on va lui demander 100/150 €". Les faits reprochés, malgré de nombreux exemples, sont contestés avec vigueur par les avocats des mis en cause.
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