Des reproches sur son caractère "intransigeant"

Mitterrand, années 1970 © SIPA
A travers les lettres apparaissent les "crises" qui se sont manifestées, au cours de leur relation. Aux menaces de rupture, il répond souvent en lui réitérant ses promesses d'amour : "Imaginer que tu appartiennes à un autre, physiquement, est atroce. Mais tu as le droit de vivre. Châtré, il me restera un coeur et un esprit, assez pour t'aimer avec la même passion", écrit-il en 1970. En 1984, il regrette qu'elle ne souhaite plus lui parler et adresse sa lettre à elle autant qu'à sa fille : "Je ne vous ai pas appelées ce soir, fidèle aux consignes de la Maréchale Annanon [...] Ô ma chérie, ces silences tant désirés qui se font tant déchirants !". 
A travers les lettres apparaissent les "crises" qui se sont manifestées, au cours de leur relation. Aux menaces de rupture, il répond souvent en lui réitérant ses promesses d'amour : "Imaginer que tu appartiennes à un autre, physiquement, est atroce. Mais tu as le droit de vivre. Châtré, il me restera un coeur et un esprit, assez pour t'aimer avec la même passion", écrit-il en 1970. En 1984, il regrette qu'elle ne souhaite plus lui parler et adresse sa lettre à elle autant qu'à sa fille : "Je ne vous ai pas appelées ce soir, fidèle aux consignes de la Maréchale Annanon [...] Ô ma chérie, ces silences tant désirés qui se font tant déchirants !". 
© SIPA