Anne Pingeot déçue d'être la seconde

Anne Pingeot et François Mitterrand en 1986 © AFP
Peu importe tout l'amour que lui portait François Mitterrand, les nombreuses lettres qu'il lui envoyait, les mots doux dont il la couvrait sans cesse, la jeune Anne Pingeot avait du mal à accepter sa place de "seconde", de femme secrète, cachée. "Je n'ai pas de devoir envers toi", lâche-t-elle dans une lettre du 12 octobre 1971, finalement jamais envoyée. "Il y aura toujours une intervention, une élection, ou un congrès dans l'air. Moi j'ai la fatigue, l'inquiétude quotidienne. Si tu m'aimes, tu dois essayer de me rendre heureuse. Et me rendre heureuse, c'est t'effacer." "Découvrir que l'on n'est pas la préférée, c'est le plus dur", avait également déclaré Anne Pingeot, dans la biographie sur l'ancien chef de l'Etat "Portrait d'un ambigu" de Philip Short.
Peu importe tout l'amour que lui portait François Mitterrand, les nombreuses lettres qu'il lui envoyait, les mots doux dont il la couvrait sans cesse, la jeune Anne Pingeot avait du mal à accepter sa place de "seconde", de femme secrète, cachée. "Je n'ai pas de devoir envers toi", lâche-t-elle dans une lettre du 12 octobre 1971, finalement jamais envoyée. "Il y aura toujours une intervention, une élection, ou un congrès dans l'air. Moi j'ai la fatigue, l'inquiétude quotidienne. Si tu m'aimes, tu dois essayer de me rendre heureuse. Et me rendre heureuse, c'est t'effacer." "Découvrir que l'on n'est pas la préférée, c'est le plus dur", avait également déclaré Anne Pingeot, dans la biographie sur l'ancien chef de l'Etat "Portrait d'un ambigu" de Philip Short.
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