Téléphone portable : des ondes négatives ?

Les effets demeurent inconnus à long terme : la prudence est de mise © LoloStock - Fotolia
Et si on se parlait différemment au téléphone ? En mai 2014, des chercheurs de l’Université de Bordeaux ont montré qu’une utilisation intensive d’un téléphone portable est le plus souvent retrouvée chez les malades ayant eu un cancer du cerveau (principalement de type gliome, le plus redoutable). Le cancer du système nerveux central concerne 0,66 % des hommes et 0,43 % des femmes selon un recensement de 2012. Si cette étude portant sur 450 malades et 900 témoins ne permet pas de tirer des conclusions définitives, elle invite à la prudence. L'Institut national de prévention et d'éducation pour la santé vous conseille de téléphoner avec une oreillette, de limiter l’exposition ou de limiter vos appels dans les zones de mauvaise réception. 
Pause