De l'oxygène sur Tchouri

Le robot Philae déployé sur la comète "Tchouri" par le vaisseau spatial Rosetta (montage agence spatiale européenne). © ESA/SIPA
La sonde européenne Rosetta et son robot-atterrisseur passager Philae ont mis plus de 10 ans à atteindre la comète 67P/Churyumov-Gerasimenko alias "Tchouri" et ne l'ont pas fait pour rien : en 2015, Rosetta a découvert de l'oxygène dans l'atmosphère de la comète, une "surprise totale'' pour les scientifiques. De quoi, même, les pousser à revoir leurs modèles sur la formation du système solaire. Selon une étude publiée fin octobre dans la revue britannique Nature, cet oxygène moléculaire (O2) pourrait être plus ancien que notre système solaire, lui-même âgé d'environ 4 milliards et demi d'années. 
La sonde européenne Rosetta et son robot-atterrisseur passager Philae ont mis plus de 10 ans à atteindre la comète 67P/Churyumov-Gerasimenko alias "Tchouri" et ne l'ont pas fait pour rien : en 2015, Rosetta a découvert de l'oxygène dans l'atmosphère de la comète, une "surprise totale'' pour les scientifiques. De quoi, même, les pousser à revoir leurs modèles sur la formation du système solaire. Selon une étude publiée fin octobre dans la revue britannique Nature, cet oxygène moléculaire (O2) pourrait être plus ancien que notre système solaire, lui-même âgé d'environ 4 milliards et demi d'années. 
© ESA/SIPA