Le requin siki

Les requins siki vivent dans les profondeurs. © Leung Cho Pan / 123RF
La consommation du requin siki, poisson prédateur sauvage peu connu, est en règle générale à proscrire. Pour limiter la consommation des poissons contaminés au mercure et par précaution, l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (Anses) allait jusqu'à recommander, dans un avis du 3 juin 2013, de ne "pas consommer plus de deux portions de poissons par semaine". Objectif : conserver l'apport en nutriment, en consommant au moins un poisson gras (saumon, sardine, maquereau…) et en variant les lieux d'approvisionnement (sauvage ou élevage, lieux de pêche…).
La consommation du requin siki, poisson prédateur sauvage peu connu, est en règle générale à proscrire. Pour limiter la consommation des poissons contaminés au mercure et par précaution, l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (Anses) allait jusqu'à recommander, dans un avis du 3 juin 2013, de ne "pas consommer plus de deux portions de poissons par semaine". Objectif : conserver l'apport en nutriment, en consommant au moins un poisson gras (saumon, sardine, maquereau…) et en variant les lieux d'approvisionnement (sauvage ou élevage, lieux de pêche…).
© Leung Cho Pan / 123RF