Variants britanniques, sud-africain et brésilien : c'est parti pour les présentations

Variants britanniques, sud-africain et brésilien : c'est parti pour les présentations
Le 2 février 2021 à Londres. © Ben Cawthra//SIPA
  • Le variant anglais : cette mutation baptisée "VOC-202012/01", ou "B.1.1.7" pour les intimes, est apparue mi-septembre à Londres ou dans le Kent. Elle est qualifiée "d'anglaise" car elle a été identifiée sur le sol britannique, mais elle a pu avoir lieu dans un autre pays. Selon les premières hypothèses, ce variant aurait pu naître chez un ou plusieurs patients immunodéprimés.
  • Le variant sud-africain : appelé "501.V2" et très proche de la nouvelle souche anglaise (mais a priori sans rapport), il a été observé à peu près au même moment en Afrique du Sud. D'après l'équipe de pointe qui a identifié le variant sur place, citée par l'AFP le 12 janvier : "La théorie la plus probable est qu'il soit venu de patients immunodéprimés, dont le système immunitaire a plus de mal à supprimer les infections".
(la suite en page suivante)
  • Le variant anglais : cette mutation baptisée "VOC-202012/01", ou "B.1.1.7" pour les intimes, est apparue mi-septembre à Londres ou dans le Kent. Elle est qualifiée "d'anglaise" car elle a été identifiée sur le sol britannique, mais elle a pu avoir lieu dans un autre pays. Selon les premières hypothèses, ce variant aurait pu naître chez un ou plusieurs patients immunodéprimés.
  • Le variant sud-africain : appelé "501.V2" et très proche de la nouvelle souche anglaise (mais a priori sans rapport), il a été observé à peu près au même moment en Afrique du Sud. D'après l'équipe de pointe qui a identifié le variant sur place, citée par l'AFP le 12 janvier : "La théorie la plus probable est qu'il soit venu de patients immunodéprimés, dont le système immunitaire a plus de mal à supprimer les infections".
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© Ben Cawthra//SIPA
Axelle Choffat