Le piège à NOx est moins coûteux mais moins efficace

Comment fonctionne le piège à NOx ? © WSDesign/Fotolia
Vrai. Pour réduire leurs émissions et atteindre les normes concernant les oxydes d’azote (NOx), les constructeurs ont développé deux technologies distinctes. La première est dite piège à NOx et présente l’avantage d’être moins coûteux. Il est donc principalement installé sur des modèles de petites tailles, notamment les citadines chez Renault ou Fiat. C’est une sorte de filtre à particules qui piège chimiquement les oxydes d’azote par le biais de métaux précieux comme le platine.

La réaction chimique entraîne la conversion des NOx en azote et oxygène mais demande un surplus de consommation donc des émissions de CO2, premier responsable de l’accroissement de l’effet de serre, en hausse… Quasi contradictoire.
Vrai. Pour réduire leurs émissions et atteindre les normes concernant les oxydes d’azote (NOx), les constructeurs ont développé deux technologies distinctes. La première est dite piège à NOx et présente l’avantage d’être moins coûteux. Il est donc principalement installé sur des modèles de petites tailles, notamment les citadines chez Renault ou Fiat. C’est une sorte de filtre à particules qui piège chimiquement les oxydes d’azote par le biais de métaux précieux comme le platine. La réaction chimique entraîne la conversion des NOx en azote et oxygène mais demande un surplus de consommation donc des émissions de CO2, premier responsable de l’accroissement de l’effet de serre, en hausse… Quasi contradictoire.
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