La renaissance de la 3D impulsée par James Cameron

© Virginia Mayo/AP/SIPA
Visuellement magnifique, Avatar a été conçu comme un bijou technologique dont l'écrin n'est autre que la 3D. Pour être certain que le film soit visible dans les meilleures conditions, la 20th Century Fox a approché les exploitants de salles de cinéma pour qu'ils s'équipent en amont de la sortie du film événement. Et ceux-ci ont suivi malgré le coût très élevé de l'équipement. En France par exemple, les écrans 3D sont passés de 100 à 450 en une année. Et le succès s'est confirmé, le public a bien plus vu Avatar en 3D qu'en 2D à l'époque de sa sortie. Cette renaissance de la 3D, on la doit à James Cameron qui, après le succès phénoménal d'Avatar, s'est vu emboîter le pas par de nombreuses autres productions. Désormais, il est quasi acquis que chaque nouveau blockbuster est visible aussi bien en 3D qu'en 2D, ce qui représente un relais économique de taille pour les studios évidemment (les billets étant vendus plus chers) mais aussi pour les exploitants qui ont consenti de gros investissements pour s'équiper et doivent donc rentabiliser.
Visuellement magnifique, Avatar a été conçu comme un bijou technologique dont l'écrin n'est autre que la 3D. Pour être certain que le film soit visible dans les meilleures conditions, la 20th Century Fox a approché les exploitants de salles de cinéma pour qu'ils s'équipent en amont de la sortie du film événement. Et ceux-ci ont suivi malgré le coût très élevé de l'équipement. En France par exemple, les écrans 3D sont passés de 100 à 450 en une année. Et le succès s'est confirmé, le public a bien plus vu Avatar en 3D qu'en 2D à l'époque de sa sortie. Cette renaissance de la 3D, on la doit à James Cameron qui, après le succès phénoménal d'Avatar, s'est vu emboîter le pas par de nombreuses autres productions. Désormais, il est quasi acquis que chaque nouveau blockbuster est visible aussi bien en 3D qu'en 2D, ce qui représente un relais économique de taille pour les studios évidemment (les billets étant vendus plus chers) mais aussi pour les exploitants qui ont consenti de gros investissements pour s'équiper et doivent donc rentabiliser.
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