"Le cinéma français est cohérent dans sa médiocrité"

© CATUFFE/SIPA
D'après ses dires, le cinéma français est plein de contradictions. Considéré comme un OVNI dérangeant dans son propre milieu, il le critique ouvertement : "C'est pour ça que j'ai insulté le cinéma français, c'est que je le trouve incohérent ou plutôt cohérent dans sa médiocrité. Je n'ai jamais trouvé mon compte dans le cinéma français depuis que j'ai 23 ans, depuis que j'ai fait mon premier long-métrage. Je ne suis jamais allé aux César."
Dans une interview, il explique aussi que les projets ne se multiplient pas sur le pas de sa porte. Lorsqu'il évoque ses collaborations avec Costa-Gavras (pour "Amen"), Jean-Pierre Jeunet ("Amélie Poulain"), Steven Spielberg ("Munich") ou pour Matthieu Delaporte, il explique qu'être une grande gueule a pu lui servir pour décrocher ces rôles : "Ils viennent me chercher pour ces rôles-là, ce n'est pas innocent. J'ai eu tous ces trucs-là parce que j'ai ouvert ma gueule. Enfin j'espère. Au moins ça aura servi à quelque chose."
D'après ses dires, le cinéma français est plein de contradictions. Considéré comme un OVNI dérangeant dans son propre milieu, il le critique ouvertement : "C'est pour ça que j'ai insulté le cinéma français, c'est que je le trouve incohérent ou plutôt cohérent dans sa médiocrité. Je n'ai jamais trouvé mon compte dans le cinéma français depuis que j'ai 23 ans, depuis que j'ai fait mon premier long-métrage. Je ne suis jamais allé aux César." Dans une interview, il explique aussi que les projets ne se multiplient pas sur le pas de sa porte. Lorsqu'il évoque ses collaborations avec Costa-Gavras (pour "Amen"), Jean-Pierre Jeunet ("Amélie Poulain"), Steven Spielberg ("Munich") ou pour Matthieu Delaporte, il explique qu'être une grande gueule a pu lui servir pour décrocher ces rôles : "Ils viennent me chercher pour ces rôles-là, ce n'est pas innocent. J'ai eu tous ces trucs-là parce que j'ai ouvert ma gueule. Enfin j'espère. Au moins ça aura servi à quelque chose."
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