"Je survis parce que j'emmerde tout le monde"

© BALTEL/SIPA
Dans une interview pour Télérama, les journalistes Pierre Murat et Guillemette Odicino lui font la remarque qu'il n'arrête "jamais de fulminer". La réponse de sa part est sans appel et cette rage semble avoir toujours été présente, jusque dans ses gênes : "Mes parents ont toujours été des révoltés. Ce sont eux qui m'ont appris à refuser la facilité, à ne jamais y céder. Si j'ai réussi à survivre, c'est parce que j'emmerde tout le monde, en fait. Je n'ai jamais eu de fans et, tel que je me connais, si j'en avais eu, j'aurais tout fait pour les décevoir."
"J'ai toujours voulu secouer le public. Pas le caresser. Aujourd'hui, il m'arrive de me dire que je devrais arrêter. Tourner des comédies sophistiquées. Des polars. Rouler en Ferrari. Parce que les mecs qui roulent en Ferrari, on les aime. On voudrait être à leur place. Personne ne veut être à la place de Mathieu Kassovitz. Personne !"
Dans une interview pour Télérama, les journalistes Pierre Murat et Guillemette Odicino lui font la remarque qu'il n'arrête "jamais de fulminer". La réponse de sa part est sans appel et cette rage semble avoir toujours été présente, jusque dans ses gênes : "Mes parents ont toujours été des révoltés. Ce sont eux qui m'ont appris à refuser la facilité, à ne jamais y céder. Si j'ai réussi à survivre, c'est parce que j'emmerde tout le monde, en fait. Je n'ai jamais eu de fans et, tel que je me connais, si j'en avais eu, j'aurais tout fait pour les décevoir." "J'ai toujours voulu secouer le public. Pas le caresser. Aujourd'hui, il m'arrive de me dire que je devrais arrêter. Tourner des comédies sophistiquées. Des polars. Rouler en Ferrari. Parce que les mecs qui roulent en Ferrari, on les aime. On voudrait être à leur place. Personne ne veut être à la place de Mathieu Kassovitz. Personne !"
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