Finalement, ce n'est pas si compliqué...

Comme le wing walker est harnaché solidement, il n'a rien de particulier à faire. Même en vol dos, il trouve sa position (sous l'avion) sans difficulté. Quand on vous dit que c'est facile,... du moins en théorie. Un saut à l'élastique, c'est une décision et 5 secondes d'émotion. Alors qu'entre un décollage et un atterrissage, on doit bien disposer d'un quart d'heure pour avoir la peur de sa vie...
© Pascal Le Fichant
Pascal Le Fichant et Caroline Cardona