"La route" de Cormac McCarthy : un air de fin du monde

La route © Metropolitan Filmexport - Editions de l'Olivier

 En quelques mots : Un cataclysme mystérieux a ravagé la planète, la grande majorité de l'humanité n'a pas survécu. Ce qui ressemble à un hiver nucléaire cache en permanence la lumière du soleil. La faune et la flore ont presque entièrement disparu.
Les quelques survivants luttent pour rester en vie, à la recherche permanente de nourriture de l'âge industrielle. D'autres n'ont pas cette patience et se livrent à la barbarie et au cannibalisme.


 Pourquoi on n'y passerait pas nos vacances : Que les animaux de la forêt et les petites marguerites aient disparu, passe encore -on peut très bien vivre sans être fleur bleue. Mais fuir en permanence des congénères à vos trousses qui cherchent à se repaître de votre chair, ça vous oblige à courir sans cesse et à vivre dans le stress. Alors non merci !
 En quelques mots : Un cataclysme mystérieux a ravagé la planète, la grande majorité de l'humanité n'a pas survécu. Ce qui ressemble à un hiver nucléaire cache en permanence la lumière du soleil. La faune et la flore ont presque entièrement disparu. Les quelques survivants luttent pour rester en vie, à la recherche permanente de nourriture de l'âge industrielle. D'autres n'ont pas cette patience et se livrent à la barbarie et au cannibalisme.  Pourquoi on n'y passerait pas nos vacances : Que les animaux de la forêt et les petites marguerites aient disparu, passe encore -on peut très bien vivre sans être fleur bleue. Mais fuir en permanence des congénères à vos trousses qui cherchent à se repaître de votre chair, ça vous oblige à courir sans cesse et à vivre dans le stress. Alors non merci !
© Metropolitan Filmexport - Editions de l'Olivier